vendredi 8 avril 2011

Mash Harbour et Man-or-War, 25 au 30 mars 2011

Mash harbour, 25 et 26 mars.
Ravitaillement et rayon-X pour mon doigt.
Depuis longtemps nous n'avons pas vu un si grande épicerie.   Je suis avec Nathalie et nous partons avec chacune notre chariot et le sourire aux lèvres.   On veux surtout des légumes et des fruits, du fromages...Le problème c'est qu'on prend beaucoup de fruits et beaucoup de légumes....  Lorsque les hommes arrivent....Oh la la!!!  Nos paniers sont trop plein et ils nous demandent de sortir certains produits, car à pied c'est long et ça sera trop pesant.    J'ai une idée géniale, imaginez-vous que le taxi existe ici.   De mon côté, j'ai gagné et je ne remet pas grand chose sur les étalages.   Mais le taxi à coûté 10 $ pour 3 ou5 minutes de voiture.
 Samedi on cherche la clinique.  On la trouve et elle est ouverte, ainsi que la salle des rayon-X.   Grande attente pour la famille qui sont avec moi.  On rencontre une femme qui vient de l'île de Man-or-War, où nous partirons cette après-midi.

Pour nous, Mash Harbour est comme un mini Nassau.  Alors on ne veut pas y rester trop longtemps.

À la clinique, plein de rencontre extraordinaire.  Les gens d'ici sont épatés de notre grand et long parcours de voyage à partir du Québec.  Gabrielle me fait penser de remettre des cartes d'affaire de l'Envoile.

Papa Sylvain veut des conchs frites pour dîner.
Les conchs sont belles et roses lorsqu'elles sont vivantes.  Souvent, les gens décorent leur demeure avec ces gros coquillages.

26 mars
Après le dîner aux conchs on part vers Man-or-War.   Une île sans alcool et dont les gens n'aiment pas lorsqu'on se promène en costume de bain.  Il faudra se couvrir d'une jolie robe.

Lors de notre arrivée, nous invitons les amis pour un souper Mexicain avec tacos.   Les enfants de Cloud Nine préparent un tour de magie.

Yé !   Bravo aux jeunes magiciens!

Gabrielle est fière d'avoir de la visite sur son bateau. 

27 mars,  dimanche.   Je ne suis pas encore allée à l'église aux Bahamas.   Aujourd'hui j'y vais !   Et bien, nous avons trouvé le Gospel Church qui nous semble joviale.   Nous entrons, Jacqueline, André ainsi que les filles et moi.  Nous entendons quelques chansons.  Ensuite, les enfants vont devant le pasteur avec une petite vignette à lui remettre.  Gabrielle et Camille se lèvent et suivent les autres enfants.  Je suis tellement fière d'elles.  Je me mets à réfléchir à leur autonomie grandissante.  Puis, je crois que les enfants retournent au près de leurs parents.  Et bien non!  Ils sortent de l'église....Et bien je ne laisserai tout de même pas les filles dehors tout seules.   Finalement, pour que les parents écoutent le sermon du pasteur (qui est, selon moi, ben trop long) les enfants vont dans la maison voisine et bricolent, chantent et écoutent des histoires.    N'est-ce pas magnifique !  Une fois l'activité engagée je retourne dans l'église pour....Méditer.   Merci mon dieu pour ce calme intérieur.

Randonnée vers le cimetière.   Ici il n'y a pas de différence entre les  religions pour les 300 habitants de l'île.  Les gens ne sont pas en conflit selon la religion de chacun. Et à Noël, tout le village fête ensemble dans la même église.

Vue devant le cimetière.  Le chemin pour se rendre au paradis...C'est ici que j'ai une pensées pour ma grand-maman Bea qui a 98 ans.


Deuxième soirée à Man-or-War, nous sommes invité sur le voilier de Satisfaction et je m'amuse à prendre l'Envoile à son mooring. 

On trouve un parc qui est celui d'une petite école.  Durant la pause du dîner nous rencontrons un jeune garçon de 11 ans.  Il vient de l'île d'à côté et il fait le trajet en bateau à  tous les jours, 20 minutes.  Son papa vient de la France et c'est pour cette raison qu'il  est venu vers nous en nous écoutant parler français.


À Man-or-War les hommes travaillaient sur les chantiers navals.  Aujourd'hui, on retrouve un chantier qui fabrique les bateaux en fibres de verre et un autre qui a conservé les techniques ancestrales.  Voici un dinghy Bahamien.



Autre particularité du village, c'est les sacs de toile.  Au paravant, on y fabriquait des voiles de cotton.  Maintenant l'arrière grand-mère, la grand-mère, la mère et les filles font une trentaine de modèles de différents sacs.  Nous étions très curieuse, mais lorsque nous avons vu le prix nous avons cherché les plus petits sacs.  

Hibisus


Yé, la plage.  On fait une piscine...

On nage comme des poissons...

Derrière cette plage, c'est le terrain de baseball.

Et on retourne à la maison, sur notre voilier pour se désaler, encore!

Une autre journée à la plage après notre magasinage dans les boutiques souvenirs.  On sait que la fin approche...

Je laisse les filles dehors, car je veux leur acheter un cadeau de fête.

Il y a  des aménagements paysagés sur plusieurs terrains.  Je crois qu'il y a un peu plus de terre sur les îles des Abacos.  De plus,  sur certaines îles, on retrouve plusieurs retraités américains qui ont une deuxième demeure ici.

1 commentaire:

  1. Quel teint bronzé à la clinique! La photo montre bien qu'il y a eu du soleil dans le coin!!! Les conches, la magie, la visite... belle photo de Gabrielle toute sereine et calme! Église, cimetière, mer, plages et reconnaissance pour ces beautés, cette nature, ces fleurs si belles dans un décor de paradis... Cela ne doit pas être facile de partir d'un tel lieu et de quitter en quelque sorte cet état de vacances. Nous vous attendons avec joie pour se rappeler et se faire raconter tous ces événements, ces histoires inédites encore! merci pour ce partage, ces photos, ce travail! Bisous à vous tous! Yo.

    RépondreSupprimer