Bonjour mes amis, Depuis longtemps je n'ai pas écrit.
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Expérience à Catskill |
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On fait des flûtes. Olé ! |
Le fleuve Hudson était très agité et occupé par plusieurs plaisanciers et cargos. Le soir nous étions vraiment fatigués.
18 sept. Dodo au mooring de Malboro avec le spectacle des trains sans fin.
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Je ne voulais pas manquer les montagnes. La veille, j'avais vu les courbes de niveaux sur la carte. |
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Il fait beau et chaud... plus tard on s'est arrosées en costume de bain. |
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Beau château à visiter une autre fois. Ruine Bannerman à Pollepel. |
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On mange bien, même en navigation. |
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Académie militaire de US Air Force de West Point. Pour toi Patrick ! |
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Camille et Gabrielle apprennent à vivre à proximité. Les valeurs de respect sont importante, mais pas facile à 4 ans. |
19 sept. Dodo au mouillage de Ossining près de Croton's Bay. Nous voyons le pont avant New York.
21 sept. Nous pensions nous reposer à New York au mooring de la marina 79ième street. Le courant et les vagues des cargos nous balancent terriblement d'un côté à l'autre. Juste pour vous placer dans l'action de notre arrivée; nous voyons tous les voiliers au mooring et nous continuons pour nous assurer que c'est bien la bonne marina. Ok, c'est bien la 79th marina. Nous remontons le courant et voilà que nous nous apercevons que nous pouvons avancer seulement à 1 ou 2 noeuds. Pas très vite et stressant de penser qu'on peut finir par reculer. La seule boule de mooring libre que nous avions vu était en amont de la marina de .7 mile nautique. Sylvain laisse le moteur engagé pour me venir en aide avec cette sapristie de méga boule blanche. Nous ne savions pas que les blanches étaient pour les locaux et que les boules jaunes étaient pour les visiteurs. Une chance cette innocence car aucune boule jaune était disponible.
Nous sommes tôt dans l'après-midi, mais aucune chance de sortir en dinghy dans pareilles vagues. Film pour les filles et moi je fais des recherches sur ce que nous pourrions visiter demain. Sylvain fait les vérifications du moteur et du mooring. Ça balance !!! Tout la nuit aussi, pas reposant. En plus la sapristi d'énorme boule de mooring se met à cogner sur la coque. J'y trouve une solution, je mets une, deux et finalement trois défenses.
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Le pont qu'on voyait la veille tout illuminé. |
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Quel spectacle ! |
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Nos premiers immeubles. |
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Pont très spécial, il y a que des camions... |
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Et bien les voitures sont à l'étage plus bas. Incroyable ! |
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Ouf! Arrivé, on se repose... |
22 sept. On sort enfin du voilier pour aller se promener. Wow ! Les filles ont les yeux vers le ciel et regarde quel édifice est le plus haut. Nous marchons vers Central park. Nous arrivons à la moitié du chemin lorsqu'un jeune homme nous propose un tour guidé du parc en pedibike. Avec Camille qui aura une grosse journée de marche, nous lui demandons de nous reconduire simplement au zoo. Quel chance !
Incroyable ce zoo (le zoo de Madagascar, le film) en pleine ville...
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distance entre le voilier et la marina. C'est loin ! |
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Heureuses de sortir. |
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Taxi en vélo |
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Magnifiques les fleurs, je suis en vacance. |
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Incroyable un zoo en plein ville. |
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Le manège qui jouait de la musique de fanfare. |
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Central park c'est énorme, il y a même un lac où certaines personnes pêchent. |
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Ballon dirigeable en soirée |
Dernier dodo à New York, l'endroit est bien, mais le mouillage n'est pas protégé du tout et on en a plein le casque de nous faire brasser. Nous reviendrons peut-être en avion... Terrible matin, 4h00 le dinghy vient frapper la plage du bateau et nous devons tout protéger pour ne rien perdre. En plus la boule frappe encore...On perd une défense...On part c'est certain avec la marée basse vers 10h00.
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Manhattan |
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Gabrielle est restée sur le pont très longtemps pour observer la statut. |
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Pont de Brooklyn, on passe à côté. |
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Boat taxis, voiliers, cruiser, traversiers, Scenicboat(touriste), cargo et nous... |
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Pont Verrazano et les cargos en repos. C'est la fin de New York. |
23 sept. J'ai dormi un peu avant le départ, alors je prends la barre pour sortir de New York. Ouf! Les taxi boat sont partout de tout côté, les cargo me semble en repos, une chance pour moi. Je zigzag à travers tout ça en faisant un salut à la statut de la Liberté. Nous traversons le pont et c'est plus tranquille.
Bang!!! J'arrête tout, Sylvain me demande "qu'est-ce que c'est? aucune idée....Je fixe l'arrière du bateau pour comprendre....Là voilà...une longue planche fraichement couper en deux. Oulala ! est-ce que notre élice va bien ? Pas de vibration spéciale... On continue vers Sandy Hook. Nous apercevons la digue de roche du Yacht Club de Atlantic Highland, il y a énormément de voilier la-dedans. Nous trouvons le voilier Nepteau. Ça nous réconforte de savoir des gens que nous connaissons dans le même coin. C'est calme, on sort en dinghy et on se fait inviter à bord de JPA que nous avions rencontré à New York. On se partage nos solution contre la boule du mooring qui cognait.
Nous allons à terre, on marche un peu et on retourne souper au bateau. On se lave, met le pyjama et je raconte plein d'histoire. Sylvain écoute la radio et se prépare pour un orage. Nous regardons les éclairs oranges qui sont impressionnantes. 21h00 Ça nous tombe dessus... Sylvain me dit "mets ta veste et fais mettre la veste aux filles." OK, dis-je ! Est- ce que ça va aller en haut ? , - Tout le monde bouge... Je vais voir et je vois de trop près le bateau de nos amis Nepteau. Sylvain! C'est nous qui chassons, l'ancre a levé lorsque le vent est arrivé à sens inverse de notre mouillage. C'est l'enfer, j'ai luste le goût de pleurer, mais je dois dire aux filles que tout va bien et que c'est presque fini. C,est l'enfer dans ma tête. Mais au moins Sylvain est sur l'adrénaline et prend bien la situation en main. J'ai confiance en lui . L'ancre se raccroche. OUF! Après le coup de vent, nous levons l'ancre et nous allons un peu plus loin des deux voiliers au fond de la baie, qui eux n'avaient pas bougés.
Bonjour la petite famille et surtout très chère Caro,
RépondreSupprimerje te comprend tellement dans ce que tu vis. Quelle affaire. Dans ma tête aussi ça faisait la même chose. Mais dans l'ensemble, c'est le bonheur total tout ce que tu vivras. Lâche pas ... et je vous lis vivement. Ça fait très curieux aussi de voir vos photos et les endroits où vous passé car c'était la même chose pour nous.
Chantal du voilier Coxily (Lac Champlain aux Bahamas, 2007-2008) coxily.blogspot.com
Tout ce que vous vivez nous impressionne et nous vous admirons d'unir vos forces et votre confiance dans un tel projet qui, parfois, n'est pas de tout repos! Nous sommes heureux de savoir que vous allez bien et que le voyage suis son cours. On vous embrasse bien fort, MA, Bobby et Louis (qui commence à parler!!!)
RépondreSupprimerSalut la famille,
RépondreSupprimerAlors si je comprends bien, une tempête à New York ressemble à un blizzard à Tasiujaq! Je suis content de ne pas avoir vécu la même chose lorsque j'y suis allé!
Ici, on attend notre bateau, celui qui apporte les cadeaux! ;-)
Martin
Quelles belles photos qui parlent et en disent long sur les plaisirs et belles occasions d'apprendre plein de choses... manhattan, la statue de la liberté, des taxis particuliers. Et pour finir, une tempête. Une expérience de plus à noter dans le carnet de bord ainsi que les leçons apprises. Ah! l'expérience d'un vieux loup de mer prend tout son sens! faire avec et surtout pas contre (paroles du père de Suzie) Je ne l'oublierai jamais! Heureusement il n'y a pas que les tempêtes! Yo
RépondreSupprimerJ'avais pris du retard dans la lecture du blog. Ouf, ya de l'action sur l'eau et plein d'émotions. Tu écris bien Caro, on se sent aussi sur Le voilier avec vous!
RépondreSupprimerJulie l'Écureuil
Salut ma belle Caro et le reste de ton équipage que je commence à connaître un peu...Je vous admire beaucoup !
RépondreSupprimerJ'arrive d'un super beau voyage en Chine/Japon et j'avais pris du retard à votre suite. Je suis émerveillée de vous lire et de vous suivre. Quelle belle aventure malgré les aléas du voyage. Une expérience de vie incomparable et impérissable pour vous tous. Bravo ! Courage et bon vent ! Je t'embrasse bien fort.
Claire L.